Depuis quelque temps, on assiste notamment à une reprise de la bulle immobilière partout en Europe. Les seules qui font exceptions sont Stockholm et Prague. Les Français peuvent donc arrêter de s’inquiéter. Ils ne sont pas les seuls à devoir faire avec cette nouvelle donne.
Mais Paris reste tout de même le plus cher
Malgré cette tension généralisée dans la bulle immobilière, Paris reste une exception. Avec un prix moyen du m2 pouvant se négocier à presque 9 000 euros, la capitale de la France n’est concurrence que par Stockholm dont les tarifs n’atteignent que 8 378 euros. La preuve est faite que la Ville lumière reste la zone la plus chère de la zone Européenne en termes d’investissement immobilier. Et selon l’étude menée, Paris ferait encore partie des 8 villes sur 11 où les prix peuvent encore augmenter. Dans la liste figure également Berlin, Lisbonne, Bruxelles, Vienne et bien d’autres encore.
Dans tous les cas, les experts s’entendent à dire que la situation reste favorable à des placements de qualité, notamment en termes d’immobilier résidentiel. Et pour cause, la chute des taux du crédit immobilier s’est également généralisée partout en Europe. Elle est entre autres de 4,1 % en Bulgarie pour un crédit sur 25 ans et un peu moins ou un peu plus dans les autres pays d’Europe.
Quel est le prix moyen des placements actuels ?
L’immobilier reste une valeur sûre. Et outre Paris, en France, le prix du m2 reste plus ou moins abordable. On parle d’une moyenne de 2 550 euros le m2. Ce qui revient moindre par rapport au marché de Luxembourg qui atteint aujourd’hui les 4 800 euros.
Dans tous les cas, on enregistre tout de même une reprise de près de 8,4 % en un an. La raison ? Une forte demande à cause de la facilité d’accès et la modicité des crédits immobiliers comme susmentionnés. Dans les 14 pays sujets de l’étude, la reprise est en bonne marche et ne semble pas vouloir s’arrêter. Mais pour ce qui est Rome, Londres et Madrid, la situation reste floue.
