la santé à outrance

Mutuelle; La santé à outrance: une limite pour la réglementation !

Assurance - Mutuelle

Le président de Harmonie Mutuelle mais aussi vice président de la Fédération nationale de la mutualité française, Stéphane Junique, désire mettre fin au règlement de la santé à outrance. Le 21 février, un débat sera ouvert par la mutualité pour discuter sur cette réglementation.

Santé à outrance : Objectif du débat du 21 février

Ce débat se portera sur la mise en question de l’approche de Marisol Touraine réglementant la santé à outrance. Plus précisément, il concernera la prise en charge de toutes les maladies d’une manière égale.

Les propositions seront ainsi reçus et retenus, mais le plus important sera de tenir en compte la capacité à assurer une collectivité au pouvoir du public, une aptitude à assurer la mutualité en santé. Ainsi, l’objectif principal du débat sera l’égalité de prise en charge de toutes les malades et aussi de toutes les maladies.

Au cours de ce débat, on parlera également des fonctions des mutuelles, et de tous les frais y afférents. Certains participants aux débats ont voulu faire affronter mutuelles et sécurité sociale. Ils ont affirmé que la gestion d’une mutuelle exige beaucoup de somme d’argents alors que celle de la sécurité un peu moins.

Quelles sont alors les propositions face à ces situations ?

Au cours d’un débat on discute longtemps sur un sujet jusqu’à en tirer une solution approuvée par tous. Mais aussi, toutes les propositions seront tenus en compte et être sujet d’une discussion elles aussi. Au cours de ce débat du  février, plusieurs idées ont été proposées pour atteindre cet objectif de mise en place d’égalité au sein de la santé publique.

Une approche technico- économique des politiques de santé connait effectivement un léger problème. En effet, cette approche n’a pas encore pu atteindre son objectif à cause des contrats qui ne font pas sérieusement leur travail.

« Le plafonnement du remboursement ne se déroule pas comme il faut. Pour remédier à cela, pourquoi ne pas interdire aux pouvoirs publics l’intervention dans la définition de l’économie dans la mutuelle santé. »