Inde/viols: Uber lance un "bouton panique"

Uber: un bouton de panique dédié à l’Inde

Consommation

Uber, le service de voitures avec chauffeur tient à rassurer les clients en Inde après le viol présumé d’un chauffeur sur une passagère.

Interdit depuis le mois de décembre à New Delhi, la capitale de  l’Inde après les accusations de viols portées par la passagère d’un chauffeur, le service Uber vient d’équiper son application pour smartphone d’un bouton panique destiné à émettre une alerte en cas de risque pour les passagers de ce service de voitures avec chauffeur.

La ville de Bombay envisage d’interdire le service Uber

Ces mesures de sécurité prises par la société américaine visent à rassurer les utilisateurs et les législateurs. Alors que la ville de Bombay envisage à son tour d’interdire ce service, le géant Uber rappelle que les chauffeurs sont triés sur le volet et que l’entité indienne va déjà au-delà des standards de certification des autorités de transport indiennes.

Une équipe indienne dédiée à la gestion des urgences

Sous la pression des autorités indienne, la société de chauffeurs privés Uber, souhaite également mettre en place une équipe physique destinée à traiter les appels d’urgence émis par le bouton de panique de son application disponible pour tous les smartphones.